
- Le financement des aides sociales autour de la problématique du financement de la perte d'autonomie des personnes âgées.
- L'équilibre des territoire entre politique de la ville et solidarité rurale.
- L'équilibre des territoire entre politique de la ville et solidarité rurale.
Plusieurs pistes de solution sont évoquées par les responsables politiques allant de l'assurantiel obligatoire, à la création d'un 5ème risque, et à un nouvel appel à la solidarité nationale qui seront débattues dans les prochains mois dans le cadre de la réforme sur la dépendance.
L'équilibre des territoires était le second défi abordé dans le cadre de cette formation. Pour évoquer cette politique la FNERR a notamment reçu Fadela AMARA ancienne Secrétaire d'Etat chargée de la politique de la ville.
Claude Doussiet, Directeur Général-Adjoint de l’ANRU et Vice-Président de la Commission DALO, a d’abord fait un point d’étape concernant la mise en place du Programme National de Rénovation Urbaine, en rappelant les grands chantiers lancés par l’Agence Nationale de Rénovation Urbaine.
Claude Doussiet regrette en effet l’insuffisance de continuité républicaine pour ce chantier ambitieux mis en œuvre dès 2003. En cas d’alternance, il faut pérenniser la cohérence du discours et les chantiers établis, pour ne pas instaurer de désespérance dans les quartiers identifiés, les objectifs devant rester la réinsertion des quartiers dans la ville, en créant de la mixité sociale dans l’habitat et de la diversification dans les fonctions (avec des commerces, des services publics, des activités culturelles…).
La politique urbaine, nécessaire à la cohésion sociale, ne doit pas s’arrêter. Il y a des atouts, mais également des difficultés sur ces territoires, qui ne doivent en aucun cas être stigmatisés.
Fadela Amara, ancienne Secrétaire d’Etat chargée de la Politique de la Ville, a ensuite plaidé pour un principe de continuité territoriale dans la politique urbaine, qui permettrait de dégager un consensus en convaincant l’ensemble des partenaires concernés.
Elle a rappelé les nouvelles pratiques mises en œuvre par Jean-Louis Borloo, qui a permis de créer une dynamique autour de lui et de ses projets territoriaux pour donner de l’espoir aux habitants de ces quartiers.
« Un quartier qui ne vote pas est un quartier qui n’existe pas » : voilà pourquoi l’ancienne ministre a redit son engagement pour une mobilisation accrue dans ces quartiers, avec une volonté commune qui doit émerger entre les élus locaux et le droit commun, afin de réduire la fracture territoriale. L’Etat doit être le garant de l’équilibre sur les territoires (urbains et ruraux) avec une politique de mixité sociale juste, en « construisant un réel contrat social avec les citoyens ».
1 commentaire:
Fadéla et Isabelle voilà deux femmes qui porte vraiement les valeurs républicaine qui doivent etre sociales, démocratiques, laiques et les valeurs rédicales humanistes et fraternelles
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